L’appartement

Préservé de l’agitation de la ville au sein d’un immeuble bourgeois du deuxième arrondissement, ce loft parisien sur cour privative séduit par son caractère intimiste.

Une baie vitrée donnant sur la cour apporte une belle luminosité au loft et ajoute une touche typiquement parisienne en rappelant les verrières d'ateliers d'artistes.

À l’intérieur on retrouve en premier lieu la pièce à vivre centrale. Dans un esprit résolument contemporain, elle combine un coin détente propice à la lecture, une cuisine d’angle en inox et un coin repas convivial : les accents rouges et noirs répondent au métal du coin cuisine et aux tons chauds du parquet.

À droite de l'entrée, on découvre la première suite parentale de ce loft parisien sur cour privative. Pourvue d’un grand lit double ainsi que de son propre espace de douche tout en verre, la chambre baigne dans une ambiance minimaliste apaisante, toute de clarté et de modernisme.

À gauche de l'entrée se trouve la seconde chambre, qui allie design contemporain et détails romantiques. À côté de cette deuxième chambre, on accède depuis le salon à une pièce d'eau qui, avec ses murs blancs et sa superbe vasque noire, prolonge le même esprit loft, minimaliste et contemporain.

La literie & les salles d’eau

Ce loft parisien sur cour privative dispose de :

• 1 suite parentale équipée d’un lit double (180 x 200) et sa salle de douche attenante ;
• 1 chambre avec un lit double (180 x 200) ;
• 1 canapé lit double (140 x 200) situé dans l’espace de vie ;
• 1 salle de bain indépendante avec toilette incluse.

Le quartier

Situé à quelques encablures de l'animation de la rue Montorgueil et de ce que les Parisiens appellent les « Grands Boulevards », ce loft parisien sur cour privative profite d’un emplacement de premier ordre, près de nombreux commerces dans un quartier chargé d'histoire.

Une promenade s'impose rue Montorgueil : elle est presque entièrement piétonne et donc propice à la flânerie, de restaurants en cafés et de boutiques en ateliers d'artisans. La rue a inspiré le célèbre peintre impressionniste Claude Monnet qui lui a rendu un vibrant hommage dans son tableau « La rue Montorgueil », exposé au musée d’Orsay.

On se retrouve, pour déguster un véritable croissant parisien, à la boulangerie Stohrer dont la devanture délicieusement rétro, sied bien à celle qui est la plus ancienne boulangerie de Paris. Elle fut ouverte en 1730 par le pâtissier de Marie Leszczynska, reine de France et épouse de Louis XV.

Au nord de la rue de ce loft parisien sur cour privative, les Grands Boulevards  constituent une part importante de l’identité urbaine et sociale de la Ville Lumière ; ils permettent de joindre le Boulevard Haussman au Boulevard des Italiens, avant de se diviser à nouveau à partir de la place de la République. À quelques minutes de l'appartement, on retrouve « les incontournables » d'une visite à Paris, comme le musée Grévin ou le célèbre Théâtre des Variétés, débauche de velours rouge et de colonnes dorées couronnées de chapiteaux ioniques.

Un peu plus loin, rue du Faubourg Montmartre, il faut, si on ne l'a pas encore fait, absolument découvrir le Bouillon Chartier, le premier restaurant « bouillon » de Paris, ouvert en 1896 par les frères Chartier, et qui a tout conservé de son esprit Belle Époque. Dans un bâtiment classé monument historique, les serveurs en rondin, le gilet noir du garçon de café parisien, virevoltent et s'interpellent, avant de faire pour vous l'addition à même la nappe en papier, calculant tout de tête – sans se tromper !

Sur le Boulevard Montmartre on trouve encore le Passage des Panoramas, premier passage couvert de Paris ouvert en 1799. Discret, il abrite plusieurs perles de la gastronomie à la parisienne, comme le restaurant étoilé Passage 53 (Relais et Châteaux) ou le très élégant Caffé Stern, ancien atelier de gravure transformé en restaurant italien et habillié par l’incontournable Philippe Starck.